Je ne vous ferai pas ici d’exposé sur la banlieue, il y a d’excellents ouvrages traitant ce sujet. Si jamais vous êtes à courts de références voire de lectures je me ferai un plaisir de vous fournir une bibliographie détaillée.
Je termine la lecture de l’un de ces ouvrages qui intègre notamment un article consacré à la vision de la banlieue et des faubourgs dans le cinéma de 1920 à 1960. L’auteur évoque deux superbes scènes lourdes de sens.
Dans Le Bonheur, film réalisé en 1934, une coiffeuse délurée tente de séduite un jeune homme en lui demandant le chemin de la rue de l’Avenir. Et dans La belle équipe, que nous sommes sans aucun doute légion à avoir vu, le dénommé Charlot téléphone à son amie restée à Paris au Pigalle 27-42, "numéro qui en dit plus long que tous les discours".
L’érotisme c’est simple comme un coup de fil !
Je termine la lecture de l’un de ces ouvrages qui intègre notamment un article consacré à la vision de la banlieue et des faubourgs dans le cinéma de 1920 à 1960. L’auteur évoque deux superbes scènes lourdes de sens.
Dans Le Bonheur, film réalisé en 1934, une coiffeuse délurée tente de séduite un jeune homme en lui demandant le chemin de la rue de l’Avenir. Et dans La belle équipe, que nous sommes sans aucun doute légion à avoir vu, le dénommé Charlot téléphone à son amie restée à Paris au Pigalle 27-42, "numéro qui en dit plus long que tous les discours".
L’érotisme c’est simple comme un coup de fil !
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