Une lectrice a réagi à mon dernier billet "Ce n’est pas le moment qui m’a le plus frappée dans le film." Je me suis donc demandé quel pouvait être le moment qui l’aurait le plus frappé. Je n’ai pas la prétention d’avoir trouvé la réponse, mais une scène pourrait, me semble-t-il, prétendre être qui l’aurait le plus frappée.
L’ancienne maîtresse d’école d’Éliane Wieck, Évelyne Didi, invite au restaurant cette dernière dont le rôle est tenu par Isabelle. Au cas où vous n’auriez pas vu ce film, la scène est la suivante :
- On voit votre soutien-gorge sous votre corsage.
Et effectivement on le voit fort bien.
Je suis sûre que vous ne l’auriez pas mis si j’étais venue chez vous.
- Mais enfin…
- Faites-moi plaisir pour mon anniversaire. Allez l’enlever aux lavabos.
- Tu es folle, il y a des gens.
- S’il vous plaît.
- Je t’avertis, je le fais !
Elle se lève, revient quelques instants après et sous le corsage, si l’on ne voit plus le soutien-gorge les seins sont délicieusement visible. Elle s’assied, boit un verre, cachant quelque peu ses seins avec ses mains
- Ah.
Elle se redresse.
- N’empêche que je l’ai fait.
- Ouais, la prochaine fois, c’est votre derrière qu’il faudra montrer.
Je reconnais que cette scène est nettement plus jolie que celle visée dans mon premier billet, mais je me pose à nouveau une question. Devrais-je proposer à cette lectrice un tel repas au restaurant.
L’ancienne maîtresse d’école d’Éliane Wieck, Évelyne Didi, invite au restaurant cette dernière dont le rôle est tenu par Isabelle. Au cas où vous n’auriez pas vu ce film, la scène est la suivante :
- On voit votre soutien-gorge sous votre corsage.
Et effectivement on le voit fort bien.
Je suis sûre que vous ne l’auriez pas mis si j’étais venue chez vous.
- Mais enfin…
- Faites-moi plaisir pour mon anniversaire. Allez l’enlever aux lavabos.
- Tu es folle, il y a des gens.
- S’il vous plaît.
- Je t’avertis, je le fais !
Elle se lève, revient quelques instants après et sous le corsage, si l’on ne voit plus le soutien-gorge les seins sont délicieusement visible. Elle s’assied, boit un verre, cachant quelque peu ses seins avec ses mains
- Ah.
Elle se redresse.
- N’empêche que je l’ai fait.
- Ouais, la prochaine fois, c’est votre derrière qu’il faudra montrer.
Je reconnais que cette scène est nettement plus jolie que celle visée dans mon premier billet, mais je me pose à nouveau une question. Devrais-je proposer à cette lectrice un tel repas au restaurant.
L’été meurtrier, suite… d' Un Joueur Parisien est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International.
Elle se sent rougir une fois de plus, votre lectrice :-) :-S
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