— J’avais parié, Hadrien, que tu allais adorer ça, et, vu ton enthousiasme, je ne me suis pas trompée, même si, ajouta-t-elle en riant, tu dois encore améliorer ta technique. Mais, ne vous arrêtez pas là ! Hadrien, mets-toi face au miroir, à genoux, penché en avant, le cul tendu, ouvre ton cul avec tes mains, tu vois ce que je veux, tu m’as assez souvent demandé de le faire.
Je ne me suis pas fait prier, et me suis installé, le cul tendu, ouvert, offert, Marie-Dominique n’en perdait pas une miette. Je sentis alors une bouche, une langue sur mon cul, dans mon cul. Puis, rapidement Marc glisse un, puis deux doigts. Visiblement satisfait de l’état de mon cul, très vite, il retira ses doigts et son gland vint se poser entre mes fesses. Gémissant, je sentais sa queue ouvrir lentement mon cul, face au miroir, je le contemplais souriant, me tenant par les hanches et m’enculant. En arrière-plan, Marie-Dominique, sur un fauteuil, une jambe par-dessus l’accoudoir, les cuisses outrageusement écartées, se caressait sans perdre une miette du spectacle. Marc continuait intensément, et je voyais dans son regard le plaisir monter. Il finit par jouir dans mon cul, et dans un râle.
Après ? Après, je ne sais plus vraiment, tout se mélange dans ma tête lorsque je repense à cette soirée tout s’emmêle comme se sont emmêlés nos corps, nos jambes, nos bras, nos mains, nos doigts, nos langues, mais aussi nos envies, nos désirs.
Arrivé là de mon récit, le regard de Tina semblait plus pétillant que jamais, peut-être un effet du vin ?
— Il fait chaud, non ? demanda Tina, peut-être un effet du vin ?
— Il fait chaud, mais je ne suis pas certain que le vin en soit la seule raison, lui répondis-je tout en lui resservant un verre de vin. Mais, si tout s’emmêle, que je suis bien incapable de raconter cette soirée sans rien oublier, voire dans l’ordre chronologique, j’ai des souvenirs de moments.
Je me souviens des seins de Marie-Dominique que je caressais, léchais, mordillais et de Marc caressant, léchant, mordillant les miens.
Je me souviens de la tête de Marc enfoui entre les cuisses de Marie-Dominique, pendant qu’elle caressait mon sexe de sa langue.
Et je me souviens de Marie-Dominique qui, après avoir longuement léché, sucé ma queue l’a prise à pleine main pour l’enfoncer dans le cul de Marc dans lequel j’ai joui pendant que Marie-Dominique m’embrassait à pleine bouche tout en pinçant mes seins.
— C’est certain, soupira Tina, Il fait chaud et ce n’est pas le vin. Et, dis-moi, ce n’était pas première sodomie ?
— Tina, tu aurais déjà oublié, j’ai écrit un texte pour raconter ma première sodomie, et si je me souviens bien tu l’as même mise en voix. Et c’était délicieux.
Très vivante cette histoire. On imagine bien les scènes et on ressort pas totalement indemne
RépondreSupprimerMerci Mu pour ces mots, merci de dire ainsi ce que vous ressentez
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