"Vilaine fille, lui sussure la voix dans l'oreille, tu as joui toute seule, déjà ? si vite ?" Elle regarde dans sa direction, ou plutôt elle tend son visage inutilement dans sa direction. Elle sent ses mais sur ses épaules, il la redresse, non elle ne se lève pas, elle reste à genoux, il lui place les mains sur la nuque, les épaules tendues en arrière. Elle sait qu'ainsi ses seins sont fièrement offerts.
À nouveau le silence et les mains qui effleurent ses seins, elle en sait pointes durcies, tendues par le désir. Et les mains qui ne se contentent pas d'effleurer, qui caressent, prennent à pleines mains, malaxent. Elle ne bouge pas, contient ses gémissements, elle aime cela et ressent ce sentiment trouble d'abandon, ce moment où il n'a même pas à dire, où elle va elle-même vers ses désirs, au-delà de ses envies. Il enfouit ses mains dans le décolleté et joue avec ses seins, en caresse les pointes. Son haut choisi longuement pour la profondeur du décolleté glisse et découvre les dentelles noires de sa guêpière qui dévoile et offre sa somptueuse poitrine. Elle sait que cela va lui plaire, et elle apprécie le murmure d'approbation.
Des lèvres douces se posent sur ses seins, en embrassent, sucent doucement les pointes offertes. Elle sourit un gémissement de bonheur lorsqu'il les aspire doucement, sourire brusquement interrompu par une morsure qui succède à la douceur des lèvres. Mais malgré la surprise et la légère douleur qu'elle se surprend à aimer autant, elle reste silencieuse, elle sait que c'est ainsi qu'il veut qu'elle se conduise. Il suce et mordille alternativement ses deux seins, elle retient ses gémissements, et soudain ses lèvres, ses dents, sa bouche disparaissent. Elle ne sait, elle l'entend, elle croit l'entendre devant elle. Ses doigts qui frôlent un sein, et soudain, fulgurant un pincement, et le bruit métallique d'une chaînette. La douleur lancinante d'une pince. Elle sent que malgré elle, son sourire s'est mué en un léger rictus, et elle attend la seconde, l'attente est de courte durée, pincement, douleur lancinante. Elle ne tient plus, et gémit en se penchant en avant. Aussitôt les mains la redressent, tirent sur les épaules. Elle essaie de calmer sa respiration, la douleur s'installe, cette douleur qui stimule le corps les sens, le plaisir. Un tiraillement léger sur ses tétons, il joue avec la chaînette, elle gémit son mélange de douleur et plaisir. La chaînette caresse ses lèvres, elle sait, ouvre la bouche et referme les dents sur la chainette. Il lui redresse la tête, les pinces tirent doucement sur ses seins. Une main caresse tendrement sa joue " Souris vilaine fille, le jeu va commencer…"
Date de publication 07 juillet 2010 16h37
RépondreSupprimerLire m'a tiraillé le ventre ...Prenant !