Je me lève, me déshabille vite, ou plutôt le plus vite possible avec les yeux bandés. Je sens son souffle sur ma nuque, je l'entends faire disparaître mes vêtements dans un placard. Je reste nu immobile au milieu de la pièce. Et je sursaute au bruit de la sonnette. Elle rit et va vers la porte, le bruit lourd de la clé qui tourne, la porte, sa voix étincelante comme toujours : " Elle est jolie, j'adore!" Une voix d'homme lui répond, une voix que je ne connais pas, j'entends leur conversation par bribes, ils parlent de moi, d'une femme…
Puis des pas, le sien, un autre pas de femme, moins assuré et un pas d'homme et à nouveau la voix qui sourit " Déjà prêt à l'emploi, une excellente idée !" Ses doigts, des doigts à elle, sur mes seins, je les reconnais, elle les pince, je connais ce sourire-là, son regard pétillant. Je connais sa manière de me caresser doucement les pointes de seins, avant de les pincer doucement, de les pincer un peu plus fort, et je gémis doucement, j'aime cette sensation.
La voix de l'homme qui murmure, je ne distingue pas ce qu'il dit. Elle rit doucement, et lance un" Oui, excellente idée, mets toi à genoux toi." Dans un sourire, je m'agenouille aussitôt. Et la voix de l'homme tout aussi souriante : " Toi aussi." Un bruit près, tout près de moi, je sens un corps prés du mien. Et son rire, sa voix qui me fait toujours et encore chavirer " Approche toi, ne sois pas timide." Elle pose sa main sur ma nuque, me fait doucement avancer à genoux. Je sens un souffle contre le mien juste en face de moi, une odeur, un parfum féminin.
Je ne bouge plus, et ils bavardent tous deux, je les entends marcher, des bruits de verre, de bouteille. Ils sont assis dans le canapé. Ils parlent de moi, et d'elle, celle qui est face à moi, je pense. Elle rit : "Ils semblent timides tous les deux". Et la voix d l'homme rajoute " Il faudrait qu'ils fassent enfin connaissance non ?"
Il sourit, "Mets quand même quelque chose pour sortir..." J'attrape un imper pour me couvrir et nous partons. Il ne dit rien, l'ascenseur, sa voiture. Nous roulons, à un feu il me tend un bandeau. Il n'a pas besoin d'en dire plus, je mets le bandeau sur mes yeux immédiatement.
Nous roulons encore un peu, il se gare, descend, j'attends un instant, ma portière s'ouvre, sa main, il me guide. Je marche les yeux bandés, j'imagine son sourire satisfait. Un bruit de porte cochère, un ascenseur, une sonnette, un bruit de porte, une rire de femme " Elle est jolie, j'adore…"
Puis des pas, le sien, un autre pas de femme, moins assuré et un pas d'homme et à nouveau la voix qui sourit " Déjà prêt à l'emploi, une excellente idée !" Ses doigts, des doigts à elle, sur mes seins, je les reconnais, elle les pince, je connais ce sourire-là, son regard pétillant. Je connais sa manière de me caresser doucement les pointes de seins, avant de les pincer doucement, de les pincer un peu plus fort, et je gémis doucement, j'aime cette sensation.
La voix de l'homme qui murmure, je ne distingue pas ce qu'il dit. Elle rit doucement, et lance un" Oui, excellente idée, mets toi à genoux toi." Dans un sourire, je m'agenouille aussitôt. Et la voix de l'homme tout aussi souriante : " Toi aussi." Un bruit près, tout près de moi, je sens un corps prés du mien. Et son rire, sa voix qui me fait toujours et encore chavirer " Approche toi, ne sois pas timide." Elle pose sa main sur ma nuque, me fait doucement avancer à genoux. Je sens un souffle contre le mien juste en face de moi, une odeur, un parfum féminin.
Je ne bouge plus, et ils bavardent tous deux, je les entends marcher, des bruits de verre, de bouteille. Ils sont assis dans le canapé. Ils parlent de moi, et d'elle, celle qui est face à moi, je pense. Elle rit : "Ils semblent timides tous les deux". Et la voix d l'homme rajoute " Il faudrait qu'ils fassent enfin connaissance non ?"
Il sourit, "Mets quand même quelque chose pour sortir..." J'attrape un imper pour me couvrir et nous partons. Il ne dit rien, l'ascenseur, sa voiture. Nous roulons, à un feu il me tend un bandeau. Il n'a pas besoin d'en dire plus, je mets le bandeau sur mes yeux immédiatement.
Nous roulons encore un peu, il se gare, descend, j'attends un instant, ma portière s'ouvre, sa main, il me guide. Je marche les yeux bandés, j'imagine son sourire satisfait. Un bruit de porte cochère, un ascenseur, une sonnette, un bruit de porte, une rire de femme " Elle est jolie, j'adore…"
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