Et pourtant j'avais pris de bonnes résolutions en début d'année, je me l'étais promis, je ne ferai plus de commentaires, n'écrirai plus de billet sur les études diverses publiées sur internet, je ne m'interrogerai plus sur la pertinence, l'intérêt de mener de telles études qui vont tout au fond, sur des sujets aussi pointus.
J'avoue, j'ai craqué, mais là ce n'est pas de ma faute, j'ai été provoqué, une étude a été publiée dont le titre est "La braguette est l'ennemi public numéro 1 des hommes." Et l'on apprend que "Selon une étude publiée dans le Journal britannique d'Urologie Internationale et à l'initiative de l'Université de la Californie et d’Herman Singh Bagga, un professeur d'urologie de San Francisco, 17 616 personnes ont terminé aux urgences américaines entre 2002 et 2012 parce qu'ils s'étaient coincés les organes génitaux dans une fermeture éclair." Comment peut-on imaginer qu'une équipe universitaire compte un à un les organes génitaux coincés dans une fermeture éclair ?
De plus, cette étude manque nettement de précision, elle ne précise pas si les 17.616 personnes concernées étaient nues sous leur pantalon, et l'on ne saurait que trop conseiller le port du caleçon, du slip, du boxer, du string ou tout simplement se choisir des braguettes à boutons. L'étude ne précise pas davantage quelle partie des organes génitaux est coincée, mais a priori la circoncision devrait limiter ce genre d'accident.
Mais surtout, lorsqu'on lit cette phrase, l'on peut se demander si les 17.616 fermetures éclair étaient celles des braguettes, ou si certains glissent leurs organes génitaux dans d'autres poches. Y-aurait-il là quelques facéties sexuelles à découvrir ?
J'avoue, j'ai craqué, mais là ce n'est pas de ma faute, j'ai été provoqué, une étude a été publiée dont le titre est "La braguette est l'ennemi public numéro 1 des hommes." Et l'on apprend que "Selon une étude publiée dans le Journal britannique d'Urologie Internationale et à l'initiative de l'Université de la Californie et d’Herman Singh Bagga, un professeur d'urologie de San Francisco, 17 616 personnes ont terminé aux urgences américaines entre 2002 et 2012 parce qu'ils s'étaient coincés les organes génitaux dans une fermeture éclair." Comment peut-on imaginer qu'une équipe universitaire compte un à un les organes génitaux coincés dans une fermeture éclair ?
De plus, cette étude manque nettement de précision, elle ne précise pas si les 17.616 personnes concernées étaient nues sous leur pantalon, et l'on ne saurait que trop conseiller le port du caleçon, du slip, du boxer, du string ou tout simplement se choisir des braguettes à boutons. L'étude ne précise pas davantage quelle partie des organes génitaux est coincée, mais a priori la circoncision devrait limiter ce genre d'accident.
Mais surtout, lorsqu'on lit cette phrase, l'on peut se demander si les 17.616 fermetures éclair étaient celles des braguettes, ou si certains glissent leurs organes génitaux dans d'autres poches. Y-aurait-il là quelques facéties sexuelles à découvrir ?
Vous ne proposez pas la taille "élastiquée" ni la bande velcro...
RépondreSupprimerLa braguette à boutons, ce n'est pas mal.
Mais la fermeture éclair qui se baisse aura toujours le grand avantage de produire un son qui peut donner le frisson. Je laisse les amateurs de sensations fortes en juger : rendez-vous à
http://www.sound-fishing.net/bruitages_textile.html
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