Dans les ciels d'orages emplis de noires nuées parfois apparaissent des trouées de lumière, d'une luminosité éclatante, écrasante et terrible. Cette lueur est effroyablement courte, et disparaît au moment même où elle atteint son paroxysme. Le ciel en devient alors encore plus noir, plus bas, plus écrasant.
Et ne reste alors que ces images merveilleuses, souvenirs d'instant éphémères qui font encore briller quelque bulle au fond des yeux lorsque la cruelle banalité de la vie font chavirer le cœur vers l'obscurité de la vague.
Date de publication 23 avril 2010 16h11
RépondreSupprimerEt nous voilà face à un joueur rempli de Poésie.
Je suis épaté!...Le sourir me revient , merci.
Elyne
Date de publication 23 avril 2010 16h16
RépondreSupprimerOn vous suit aussi
quand vous êtes poète...C'est quand qu'on s'arrête avec vous ?...
Date de publication 23 avril 2010 16h22
RépondreSupprimerJe n'espérais pas tant d'éloges….
et, si je suis ainsi suivi, pourquoi m'arrêterais je ?
Date de publication 23 avril 2010 20h32
RépondreSupprimerun texte grave , mais comme le dit Elyne , plein de poesie ! Et moi j aime beaucoup ...Le joueur que vous etes, a de bien jolies facettes !
muriel
Date de publication 23 avril 2010 21h15
RépondreSupprimerComme les verts luisants dans les nuits d'été, qui nous emplissent de rêves et d'espoir, ces lumières éphémères ne sont elles pas celles à auxquelles nous nous accrochons ?
Joli texte, qui nous ouvre une petite fenêtre sur celui que vous êtes ...
Date de publication 23 avril 2010 21h33
RépondreSupprimerA quoi ne nous accrocherions nous pas …
quant à ouvrir une fenêtre, fut-elle petite, faudrait-il encore que je sache moi- même qui je suis !
Date de publication 24 avril 2010 00h32
RépondreSupprimerSourire
Peu importe que vous le sachiez ou non, vous ne pensez pas ?
Convaincue que vous le savez très bien ...