J'aime faire partager le fruit de mes lectures, vous l'avez sans aucun doute remarqué. Je suis donc plongé dans un ouvrage en ce début d'été, sans en oublier maints textes et feuilletons à écrire ou finir.
Cette lecture, dont je ne vous donnerai pas le titre, est un ravissement, superbe jeu de langue qui après avoir offert un délicieux "Vous ici : Ö jouissif hasard!" qu'un facétieux type a placé page soixante-neuf, fait apparaître quelques pages plus loin un Divin Marquis.
Et dont un des passages succulents est un poème, un lai, composé pour une belle et se terminant ainsi
"Ton cul, fruit dont j'irai gaulant l'incapsulant noyau, pignon charnu, grapillon cotissant,
Ta toison, Toison d'or pour qui, à l'instar d'un Jason, j'allai, vingt ans durant, bravant l'ouragan, ta toison, divin pubis sourcils d'amour, rachis, tuyaux, canons, poils, plumial à qui j'offrirai un calmar, marabout, paradis d'un amour conquis,
Ton sillon, ton sillon lotus, ton sillon oubli, où tout disparaît; où tout s'abolit, ton sillon Nirvâna, ton sillon où à jamais mordra ma mort, où j'irai à jamais naissant, à jamais mourant, agonisant d'un trop humain plaisir,
Ton bouton, où tout va mourir, ton bouton, bastion final où j'irai m'annulant, où j'irai m'absorbant, m'abolissant dans un amour toujours à accomplir, dans l'absolu sursaut où nous vivrons un jour, confondus à jamais, dans la passion ou l'oubli, dans la nuit où tout disparaît, dans l'infini instant où nous n'aurons qu'un corps!""
Je ne vous aiderai pas plus à en trouver le titre,
j'ai déjà fourni moult indications pour cela.
Cette lecture, dont je ne vous donnerai pas le titre, est un ravissement, superbe jeu de langue qui après avoir offert un délicieux "Vous ici : Ö jouissif hasard!" qu'un facétieux type a placé page soixante-neuf, fait apparaître quelques pages plus loin un Divin Marquis.
Et dont un des passages succulents est un poème, un lai, composé pour une belle et se terminant ainsi
"Ton cul, fruit dont j'irai gaulant l'incapsulant noyau, pignon charnu, grapillon cotissant,
Ta toison, Toison d'or pour qui, à l'instar d'un Jason, j'allai, vingt ans durant, bravant l'ouragan, ta toison, divin pubis sourcils d'amour, rachis, tuyaux, canons, poils, plumial à qui j'offrirai un calmar, marabout, paradis d'un amour conquis,
Ton sillon, ton sillon lotus, ton sillon oubli, où tout disparaît; où tout s'abolit, ton sillon Nirvâna, ton sillon où à jamais mordra ma mort, où j'irai à jamais naissant, à jamais mourant, agonisant d'un trop humain plaisir,
Ton bouton, où tout va mourir, ton bouton, bastion final où j'irai m'annulant, où j'irai m'absorbant, m'abolissant dans un amour toujours à accomplir, dans l'absolu sursaut où nous vivrons un jour, confondus à jamais, dans la passion ou l'oubli, dans la nuit où tout disparaît, dans l'infini instant où nous n'aurons qu'un corps!""
Je ne vous aiderai pas plus à en trouver le titre,
j'ai déjà fourni moult indications pour cela.
Ah! Ah! Ah!
RépondreSupprimerLa disparue!
:)
E... non.... la disparition !
RépondreSupprimerE... oui!
RépondreSupprimerPuisque celle qui disparait: -e!
Et oui, le titre est bien sûr La Disparition.
A savourer ;)
RépondreSupprimersans modération délicieuse hussarde....
RépondreSupprimer