S'il est bien connu que le deuil sied à Électre, je ne pense pas qu'il siée à Charlie, et pourtant j'ai encore ce matin la sensation d'avoir une gueule de bois en plomb. Sans l'ombre d'un doute, la seule façon de rendre hommage à Charlie est de conserver irrévérence et liberté.
Donc après avoir quatre titres de livre en quatre lignes, j'ai convoqué, si tant est qu'il soit convocable, un de mes auteurs fétiches, et peut-être quelque peu fétichiste aussi. Je vous livre donc cette phrase, qui sera ma contribution au débat l'on ne peut plus serein sur les caricatures.
"Et, loin de remercier cette nature inconséquente du peu de liberté qu'elle nous donne pour accomplir les penchants inspirés pas sa voix, blasphémons-la du fond de notre cœur."
Donc après avoir quatre titres de livre en quatre lignes, j'ai convoqué, si tant est qu'il soit convocable, un de mes auteurs fétiches, et peut-être quelque peu fétichiste aussi. Je vous livre donc cette phrase, qui sera ma contribution au débat l'on ne peut plus serein sur les caricatures.
"Et, loin de remercier cette nature inconséquente du peu de liberté qu'elle nous donne pour accomplir les penchants inspirés pas sa voix, blasphémons-la du fond de notre cœur."
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