À une vestale une nuit de solstice,
Dansant, ondulant nue, devant une bâtisse,
Et avec une joie intense et non factice,
Vêtu de lin blanc et de probité candide,
J'offre de poème que j'espère sublime.
Malgré du vers d'Hugo la captation sordide.
Un tel détournement me donne le vertige,
De la beauté d'Hugo ne reste qu'un vestige,
Résultat d'un emprunt de bien basse voltige.
Écriture autocontrainte, quarante-septième jour d' Un Joueur Parisien est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Si vous aimez mes mots, j'aime aussi les vôtres, laissez-donc, si vous le souhaitez, une trace de votre passage, les commentaires vous sont ouverts…