Elle aime ce moment où elle sent la main effleurer, caresser ses fesses, doucement, lentement voluptueusement, la caresse qui s’arrête, se suspend, reprend, s’arrête, se suspend, reprend, s’arrête, la main qui claque ses fesses, ce premier cri qu’elle ne peut retenir, son buste qui se relève un peu. Une main qui se pose entre ses omoplates, la voix qui lui intime de ne pas bouger, de ne pas parler. La main qui claque, son cul qui chauffe. Le désir qui l’emplit. Elle se cambre à l'extrême, sent son cul rougir, sent son sexe trempée de désir. La main la caresse à nouveau, caresse les fesses, glisse entre les cuisses, effleure le sexe offert. Un sifflement et le claquement mat du cuir sur sa peau, elle gémit, le cuir cingle ses fesses, ses cuisses, elle gémit, geint son désir
La main la caresse à nouveau, les ongles la griffent doucement. Elle ondule, se tend, s’offre comme une femelle impudique. Un objet la pénètre, fouille son sexe. Elle sent son cul s’ouvrir lentement sous la pression d’un autre objet qui s’enfonce lentement, très lentement en elle, tout au fond d’elle. Elle hulule son plaisir.
Elle est devant sa commode, penchée, le torse à l’horizontale, les avant-bras sur la commode. Son sexe, son, cul sont pris. Elle sait le sourire de l’homme derrière elle. Elle l’entend s’asseoir. Elle sait le regard de l’homme qui la fouille plus encore. Et, la voix qui lui doit combien il aime la regarder ainsi, combien l’image est belle et qu’il faudrait la conserver. Dans un sourire, elle lui répond lui rappelant qu'il dit lui-même être bien incapable de réussir une photo, quel dommage, ajoute-elle.
La réponse cingle comme un coup de cravache " Insolente, crois-tu donc que je ne sache sous-traiter ? " Sa voix perd de son assurance, elle interroge " sous-traiter ?" Il se lève, la main à nouveau entre les omoplates " Ne bouge pas, il arrive, je viens de recevoir son SMS." La sonnette retentit…
La main la caresse à nouveau, les ongles la griffent doucement. Elle ondule, se tend, s’offre comme une femelle impudique. Un objet la pénètre, fouille son sexe. Elle sent son cul s’ouvrir lentement sous la pression d’un autre objet qui s’enfonce lentement, très lentement en elle, tout au fond d’elle. Elle hulule son plaisir.
Elle est devant sa commode, penchée, le torse à l’horizontale, les avant-bras sur la commode. Son sexe, son, cul sont pris. Elle sait le sourire de l’homme derrière elle. Elle l’entend s’asseoir. Elle sait le regard de l’homme qui la fouille plus encore. Et, la voix qui lui doit combien il aime la regarder ainsi, combien l’image est belle et qu’il faudrait la conserver. Dans un sourire, elle lui répond lui rappelant qu'il dit lui-même être bien incapable de réussir une photo, quel dommage, ajoute-elle.
La réponse cingle comme un coup de cravache " Insolente, crois-tu donc que je ne sache sous-traiter ? " Sa voix perd de son assurance, elle interroge " sous-traiter ?" Il se lève, la main à nouveau entre les omoplates " Ne bouge pas, il arrive, je viens de recevoir son SMS." La sonnette retentit…
La femme à la commode 2 de Un joueur Parisien est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution 4.0 International.
Un suspens qui met l'eau à la bouche... J'attends l'épisode 3 :)
RépondreSupprimerLa pauvre... Je l'imagine resserrant les jambes pour protéger son intimité, frissonner, trembler même à l'idée d'être ainsi exposée...
RépondreSupprimerOh que oui j'attends la suite......
RépondreSupprimerFort sensuel comme j'aime, j'attends la suite....
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