Mais hélas ce n'est pas du retour des beaux jours avec la fleur de Paris chantée par Maurice Chevalier dont je vais traiter aujourd'hui, mais du retour de l'inévitable, sempiternel, incontournable, fatal, immanquable, inéluctable, implacable, fatidique Saint Valentin avec sa cohorte d'injonctions à offrir des cadeaux qui nous feraient aimer mieux. Je n'ai pas d'inimitié particulière pour les Valentin, quoique je préfère nettement Valentino, le seul, l'unique, Rudolph Valentino ! chanté lui par les Frères Jacques. Mais, avec Renan Luce, j'ai toujours préféré aux voisins les voisines, et à Valentin, Valentine, et pas uniquement pour la richesse de sa palette de couleurs ...
... moi qui rêvais en secret de vous demander comme Valentin ... même sans cadeau aucun !
RépondreSupprimerEt vu qu'en plus, je ne m'appelle pas Valentine et que je ne suis pas sûre de bien manier le pinceau... mon rêve tombe à plat !