Pour rester dans des considérations érotico-météorologiques, après la belle chaleur d'hier et les Frères Jacques, l'orage de ce matin, loin de me doucher, m'a rappelé Brassens chantant l'orage.
Par un soir de novembre, à cheval sur les toits,
Un vrai tonnerre de Brest, avec des cris de putois,
Allumait ses feux d'artifice.
Bondissant de sa couche en costume de nuit,
Ma voisine affolée vint cogner à mon huis
En réclamant mes bons offices.
"Je suis seule et j'ai peur, ouvrez-moi, par pitié,
Mon époux vient de partir faire son dur métier,
Pauvre malheureux mercenaire,
Contraint de coucher dehors quand il fait mauvais temps,
Pour la bonne raison qu'il est représentant
D'une maison de paratonnerre."
En bénissant le nom de Benjamin Franklin,
Je l'ai mise en lieu sûr entre mes bras câlins,
Il n'est pas question de laisser les conditions climatiques avoir raison de nos envies décuplées par… le vent fripon sur le pont des Arts….
Par un soir de novembre, à cheval sur les toits,
Un vrai tonnerre de Brest, avec des cris de putois,
Allumait ses feux d'artifice.
Bondissant de sa couche en costume de nuit,
Ma voisine affolée vint cogner à mon huis
En réclamant mes bons offices.
"Je suis seule et j'ai peur, ouvrez-moi, par pitié,
Mon époux vient de partir faire son dur métier,
Pauvre malheureux mercenaire,
Contraint de coucher dehors quand il fait mauvais temps,
Pour la bonne raison qu'il est représentant
D'une maison de paratonnerre."
En bénissant le nom de Benjamin Franklin,
Je l'ai mise en lieu sûr entre mes bras câlins,
Il n'est pas question de laisser les conditions climatiques avoir raison de nos envies décuplées par… le vent fripon sur le pont des Arts….
Date de publication 06 juin 2010 21h29
RépondreSupprimerLes joies de la météo...
les facéties du vent !
Lucie