Il est là devant elle, enfin. L'attente est finie. Il est là, il sourit, lui parle, elle ne sait plus ce qu'il a dit. Ce dont elle se souvient c'est de ce trouble immédiat, l'envie d'être à lui, de s'abandonner. Il la prend par le bras, ils marchent, une terrasse de café, elle s'assied. La jupe est courte, trop courte, elle remonte haut, elle se prépare à tirer dessus, il l'interrompt. La voix ne sourit, pas, juste un "non", elle se tourne vers lui, son regard, ses yeux dans le sien, un regard souriant mais affirmant déjà son autorité, son pouvoir sur elle.
Et cette question formulée tranquillement, sur un ton abominablement naturel "Veux-tu découvrir avec moi la soumission ?". Elle blêmit, rougit, bafouille un oui. Et il sourit, pose la main sur son bras et lâche " Je veux une réponse claire !" Elle se surprend alors à oser, là à la terrasse d'une café, avouer son désir de soumission, et pendant elle sent sa main sur sa cuisse, se laisse guider pour la première fois, entrouvre un peu plus, un peu trop ses cuisses. Elle sait qu'elle va accepter bien pire de lui.
Il sourit, elle est fière et heureuse de s'abandonner à lui, "donc tu as choisi de mettre des dessous, pourquoi ?". Elle hésite, ne sait pas, répond, explique ou plutôt cherche à se justifier « pour que vous ayez le plaisir de me demander de quitter ma culotte, pour que vous voyez combien je suis troublée, mouillée. » Il écoute, son sourire flotte sur ses lèvres, il ne dit rien. Elle sait qu'il attend davantage, elle poursuit, bafouille, mes seins sont lourds, l'absence de soutien gorge serait trop visible, j'ai choisi de jolis dessous, pour vous.. " Tu as deux minutes pour avoir les seins libres". Elle bondit, sans répondre, file aux toilettes qui sont occupées, attend, s'impatiente. La porte s'ouvre, elle rougit, s'enferme, ôte son soutien gorge, revient fièrement à travers la salle. Elle sent ses seins lourds se balancer, elle sait les regards sur elle. Il est debout, la regarde arriver. La prend par le bras, ils sortent, marchent, elle se laisse guider, " tu as été trop longue, je vais te punir…" Le trajet, elle ne se souvient que de sa main sur elle, de cette sensation d'être déjà son objet, prête à s'offrir sans fin.
La porte se referme. Tout se bouscule, tout bascule, la première image dont elle se souvient c'est elle, punie pour avoir été trop lente. À genoux, face au mur, la culotte baissée à mi-cuisses, la jupe troussée le cul offert.
il est derrière elle, ne parle pas, elle sent sa présence. Ses mains se posent sur ses seins, ses mamelles dit-il, il les caresse, les prend à pleines mains, déboutonne le chemisier. Il pince ses seins, elle laisse échapper un gémissement, des pinces se placent rapidement sur ses seins. Et il susurre "ne bouge pas !"
Et cette question formulée tranquillement, sur un ton abominablement naturel "Veux-tu découvrir avec moi la soumission ?". Elle blêmit, rougit, bafouille un oui. Et il sourit, pose la main sur son bras et lâche " Je veux une réponse claire !" Elle se surprend alors à oser, là à la terrasse d'une café, avouer son désir de soumission, et pendant elle sent sa main sur sa cuisse, se laisse guider pour la première fois, entrouvre un peu plus, un peu trop ses cuisses. Elle sait qu'elle va accepter bien pire de lui.
Il sourit, elle est fière et heureuse de s'abandonner à lui, "donc tu as choisi de mettre des dessous, pourquoi ?". Elle hésite, ne sait pas, répond, explique ou plutôt cherche à se justifier « pour que vous ayez le plaisir de me demander de quitter ma culotte, pour que vous voyez combien je suis troublée, mouillée. » Il écoute, son sourire flotte sur ses lèvres, il ne dit rien. Elle sait qu'il attend davantage, elle poursuit, bafouille, mes seins sont lourds, l'absence de soutien gorge serait trop visible, j'ai choisi de jolis dessous, pour vous.. " Tu as deux minutes pour avoir les seins libres". Elle bondit, sans répondre, file aux toilettes qui sont occupées, attend, s'impatiente. La porte s'ouvre, elle rougit, s'enferme, ôte son soutien gorge, revient fièrement à travers la salle. Elle sent ses seins lourds se balancer, elle sait les regards sur elle. Il est debout, la regarde arriver. La prend par le bras, ils sortent, marchent, elle se laisse guider, " tu as été trop longue, je vais te punir…" Le trajet, elle ne se souvient que de sa main sur elle, de cette sensation d'être déjà son objet, prête à s'offrir sans fin.
La porte se referme. Tout se bouscule, tout bascule, la première image dont elle se souvient c'est elle, punie pour avoir été trop lente. À genoux, face au mur, la culotte baissée à mi-cuisses, la jupe troussée le cul offert.
il est derrière elle, ne parle pas, elle sent sa présence. Ses mains se posent sur ses seins, ses mamelles dit-il, il les caresse, les prend à pleines mains, déboutonne le chemisier. Il pince ses seins, elle laisse échapper un gémissement, des pinces se placent rapidement sur ses seins. Et il susurre "ne bouge pas !"
Date de publication 20 septembre 18h09
RépondreSupprimerSensations.... sexuellement et mentalement orgasmique
Une levé de sensations entrant en soi, encaissant un"tout va bien, ne t'en fais pas" .
Elyne