Contrainte: mexicaine, bottes, dragon, sourire, bordel, ébullition, nocturne, guerre, sexe.
Nous échangeâmes tous deux longuement, évoquant nos envies, nos folies, nos désirs mais aussi nos expériences, nos histoires. Je lui parlai d'une merveilleuse amie, une vraie fille de la révolution mexicaine dont à n'en pas douter les deux grands-mères étaient des proches de Lazaro Cardenas.
Elle est terriblement séduisante, souvent vêtue de superbes bottes et à la voir ainsi on croirait qu'elle va chevaucher tel Pancho Villa un étalon. Mais contrairement à lui, elle ne se contente pas de si peu et enfourche sans hésitation un dragon.
Elle a un sourire angélique à faire se damner la Vierge de Guadalupe et Sor Juana Inés de la Cruz, alors qu'elle exhibe ses longues jambes et ferait se damner un saint.
Elle a air diabolique à croire qu'elle arrive tout droit d'un bordel alors qu'elle vient de publier un pamphlet révolutionnaire dont l'éloquence ferait d'envie El subcommandante Marcos.
Elle est tellement jolie, elle est tellement tout ça, comme chantait Jacques Brel, que sa simple présence met en ébullition tous les carburateurs !
Je pense sans cesse à elle, je rêve d'elle et ce rêve est si beau que j'en ai une somptueuse érection, pas uniquement nocturne.
Mais son cortex est tout aussi troublant que son cul, son engagement aussi séduisant que sa fougue. L'on pourrait la rêver voluptueuse sur un divan de cuir ou farouche combattante menant la guerre au côté d'Emiliano Zapata.
Tout en elle me charme son esprit, son corps et je frémis de désir mon sexe tendu vers elle.
Nous échangeâmes tous deux longuement, évoquant nos envies, nos folies, nos désirs mais aussi nos expériences, nos histoires. Je lui parlai d'une merveilleuse amie, une vraie fille de la révolution mexicaine dont à n'en pas douter les deux grands-mères étaient des proches de Lazaro Cardenas.
Elle est terriblement séduisante, souvent vêtue de superbes bottes et à la voir ainsi on croirait qu'elle va chevaucher tel Pancho Villa un étalon. Mais contrairement à lui, elle ne se contente pas de si peu et enfourche sans hésitation un dragon.
Elle a un sourire angélique à faire se damner la Vierge de Guadalupe et Sor Juana Inés de la Cruz, alors qu'elle exhibe ses longues jambes et ferait se damner un saint.
Elle a air diabolique à croire qu'elle arrive tout droit d'un bordel alors qu'elle vient de publier un pamphlet révolutionnaire dont l'éloquence ferait d'envie El subcommandante Marcos.
Elle est tellement jolie, elle est tellement tout ça, comme chantait Jacques Brel, que sa simple présence met en ébullition tous les carburateurs !
Je pense sans cesse à elle, je rêve d'elle et ce rêve est si beau que j'en ai une somptueuse érection, pas uniquement nocturne.
Mais son cortex est tout aussi troublant que son cul, son engagement aussi séduisant que sa fougue. L'on pourrait la rêver voluptueuse sur un divan de cuir ou farouche combattante menant la guerre au côté d'Emiliano Zapata.
Tout en elle me charme son esprit, son corps et je frémis de désir mon sexe tendu vers elle.
Écriture contrainte quarantième neuvième jour d' Un Joueur Parisien est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Si vous aimez mes mots, j'aime aussi les vôtres, laissez-donc, si vous le souhaitez, une trace de votre passage, les commentaires vous sont ouverts…