- Je bois au beau sexe des deux hémisphères.
- Et moi, je bois aux deux hémisphères du beau sexe !
Marquis de Bièvre


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mercredi 28 février 2018

Jeu licencieux 2

Texte co-écrit avec Popins, à trois mains.

Ma belle catin lubrique j'aime jouer avec vous. J'aime la belle obscénité de votre sourire, et comment en le regardant n'aurais-je pas envie de votre langue sur mon vit qui se dresse déjà vers vous. Je ne peux résister au plaisir de vous attraper par les cheveux pour vous courber, tendez donc la langue pour en caresser mon braquemart, lentement, savourez-le, dégustez-le. Vous léchez à merveille, et qu'il est bon de vous regarder ainsi langue tirée alors vous vous cambrez encore cul et con ouverts. Comment pourrais-je résister à un tel appel, mais comment abandonner la douce sensualité de votre langue ? Je ne vois qu'une solution ma belle catin offerte, continuez de me lécher pendant que je claque votre joli cul, et il est tellement tenant, troublant qu'il mériterait d'être ainsi vigoureusement rougi sous la fessée. Vous serrez ensuite encore plus bandante si cela est possible. Prenez-moi tout entier dans votre bouche, j'aime bander tout au fond de votre bouche tout en claquant votre cul. Le claquement mat de ma main sur votre magnifique cul rend encore plus douce votre bouche, ne trouvez-vous pas ? Mais, suis-je distrait, je vous parler alors que vous ne pouvez répondre puisque vous sucez mon vit avec une voluptueuse application. Faites donc une pause, vous me pompez avec une telle passion que je finirais par décharger trop rapidement mon foutre au fond de votre bouche. Je sais combien vous aimez le goût du foutre et singulièrement du mien. Mais avouez que cela serait prématuré.
Mon vit étant ainsi merveilleusement durci par votre prestation buccale, tournez-vous donc et montrez-moi votre cul rougi, prenez vos fesses à pleines mains, ouvrez-moi votre cul. Ne bougez plus, j'aime vous ainsi. Le spectacle de votre cul me fascine toujours, mais je ne peux le contempler tout à loisir. Mon vit a un désir impérieux auquel je ne peux que céder. Je m'approche donc de vous, pose mon gland au creux de votre cul, le sentez-vous là ? Je m'agrippe à vos hanches et entre lentement, très lentement, d'un mouvement continu en vous, profondément en vous. Qu'il est bon de vous enculer ma belle catin !

****

Ainsi vous décidez d’abandonner mon con et mon cul pour venir vous assoir devant moi et me présenter votre sexe tout dressé. Je vous regarde d’abord dans les yeux, je maintiens odieusement votre regard, l’envie débordant de mes paupières. Je vous souris avec arrogance et contentement. J’attrape votre vit entre mes mains, vous émettez un soupir. Je vous souris, mes yeux dans les vôtres, ma langue pendante légèrement serrée entre mes dents, trahissant ma gourmandise. Et enfin vous me faites me courber vers votre entrejambe, d’une main ferme. J’enserre votre gland de mes lèvres et je le titille du bout de la langue. Votre regard se perd entre mes yeux et le reflet du miroir derrière moi qui vous offre la vue de mon cul qui s’ouvre encore davantage du fait de ma cambrure. Je vous laisse à votre double spectacle pour m’abandonner entièrement à ma fellation. Je vous gobe de plus en plus, instinctivement, méticuleusement, gloutonnement. Mes mouvements se font plus profonds, mes aspirations plus intenses. Je salive en abondance, je bave. Vous relâchez mes cheveux et la chaleur de vos paumes sur mes fesses me fait me sentir de plus en plus chienne, de plus en plus obscène, de plus en plus vôtre. Votre gland bute au fond de ma gorge. J’aimerai qu’il aille plus loin encore. Enfin vient le moment où, à quatre pattes face au miroir, je vous regarde vous plonger dans mon cul. Vos yeux l’ont déjà baisé alors que je l’écartais à pleine main. Je détaille le sourire qui se dessine sur votre visage, votre gland à l’orée de mon cul. Vos yeux qui se ferment. J’aime vous voir me prendre. J’aime associer vos expressions à mes sensations. Votre sexe force lentement mon anus. Je vous rejoins dans l’obscurité en lâchant un soupir de plaisir qui, au fil de vos coups de reins, devient râle puis cri. Je me cambre de plus en plus. Vous m’enculez sans limite, tout au fond de mon cul. Vos poils viennent caresser mes fesses, douces caresses sur ma peau brûlante. Vous êtes au fond de moi. Au fond de votre catin qui tangue au rythme de vos paroles odieuses qui m’excitent de plus en plus. Je suis devenue en un instant votre pute, votre chienne, votre salope. Vous me le dites et j’adore cela.

Jeu licencieux 1


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