- Je bois au beau sexe des deux hémisphères.
- Et moi, je bois aux deux hémisphères du beau sexe !
Marquis de Bièvre


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vendredi 23 février 2018

Jeu licencieux 1

Texte co-écrit avec Popins, à trois mains.

Votre cul ma chère est une pure merveille. Pas uniquement votre cul, votre manière de le montrer, de vous cambrer, de vous cambrer outrageusement pour sublimer votre cul. J'aime vous regarder ainsi, à genoux devant votre lit, les coudes posés sur le lit, votre taille fine, vos hanches, et ce cul, ce cul merveilleux, ce cul source de jouissances infinies. C'est d’un plaisir extrême de découvrir le grain, la douceur de votre peau sous les mains, sous la langue, de vous caresser, vous déguster ainsi dans cette position.
Et lorsque l'on caresse ainsi ma chère votre superbe cul, vous vibrez légèrement sous la caresse, votre peau frémit, l'on ne peut que deviner le sourire se dessinant sur votre bouche. En vous caressant ainsi, lentement, langoureusement, voluptueusement, l'on sent votre cul déjà cambré à l'extrême s'ouvrir lentement. Vos fesses s'écartent et dévoilent entre cet antre de plaisir et de volupté, cette rondelle sombre nichée au creux de vos blanches fesses.
Dans un premier temps, le regard, on admire, on contemple ce cul offert, ouvert. On ne résiste pas à l'envie de vous complimenter pour cette posture si joliment obscène et l'on vous encourage à en accentuer ce caractère en saisissant vos fesses à pleines mains pour ouvrir plus encore votre cul, pour vous offrir plus encore au regard. Et on entend alors un murmure de plaisir venir de vous.
Votre cul dans toute sa splendeur ainsi offert il serait bien malséant de ne pas le déguster de la langue. L'on se penche alors vers votre cul, comme pour lui rendre hommage et on caresse ce sombre œillet du bout de la langue, l'on découvre ce goût unique et suave.
Vous déguster ainsi et saliver au creux de votre cul. Se reculer à peine et vous contempler. Contempler votre cul que vous ouvrez, que vous offrez largement. La salive brillant légèrement entre vos fesses. Le caresser alors d'un doigt. Un doigt qui effleure doucement, qui caresse tendrement là. Un doigt dont vous savez vous aussi qu'il va lentement, très lentement glisser dans votre cul, un doigt dont je sais qu'il va être accompagné alors d'un si doux gémissement.

****

J’aime sentir votre regard sur mon cul. Vous percevoir le détailler méticuleusement, le découvrir, l’honorer. D’un œil lubrique, vous le déshabillez encore, lui qui est pourtant tout nu, offert à votre vue. L’envie de vous imbibe mes yeux d’une humidité obscène, mes pupilles se resserrent, le désir se lit dans le regard que vous ne percevez pas, tout occupé à mon cul. J’aime sentir votre langue se glisser en moi, frétillante et avide, elle me fait vôtre. Je mouille mais vous ne le savez pas encore, tout entièrement obsédé par mon cul. J’attends que vous me preniez avec un doigt, puis deux. Pleine de vous, je tangue et je gémis.
Je vous laisse mener la danse et jouer de moi comme bon vous semble. Me faire votre poupée. Je vous laisse  choisir, curieuse de vos gestes futurs. Allez-vous m’enculer ou préférerez-vous venir découvrir mon con ? Des images prennent forme dans ma tête et décuplent encore le plaisir de l’instant. Chaque mouvement de vos doigts me ramène à mon cul.
Vous décidez de votre main libre de venir caresser mes pointes. Vous prenez mon sein, me pincez le téton, l’étirez doucement, le faites rouler entre vos doigts. Un râle m’échappe et je viens encore accentuer votre possession de mon cul  d’un mouvement de rein. Mon dos se colle à votre torse. Nos sueurs se mêlent. Je sens vos yeux descendre vers ma toison, attirés inexorablement par l’abîme qu’elle décore. Vous observez mes lèvres qui s’élargissent encore, faisant écho au sourire baveux de mon con. Vous délaissez mon sein et votre main descend le long de mon ventre. J’halète d’impatience et enfin, vous vous baignez dans ma mouille. Con et cul investis de vos doigts, j’en oublie la douleur de mes genoux. Je vous entends soupirer de plaisir, mes yeux clos accentuent la perception de mes autres sens. Je sais que la partie ne fait que commencer. Vous et moi, mon cul et mon con, unis dans le jeu, heureux au tout début d’une nuit ludique où la seule ambition est la quête du plaisir.


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