Mais vous l'avez compris, de Popins je suis fan,
J'aime ces contraintes, sa beauté diaphane,
Pour elle j'écrirai des poésies profanes
Mais en fait je devrais mes mots faire sacrer
Voulant les embellir pour pouvoir les encrer
Sans me faire détester, ni me faire exécrer.
De profane à sacré, une vraie balançoire,
Mais que ne ferais-je pour célébrer sa gloire,
Et que toutes et tous la gardent en mémoire.
Écriture autocontrainte, vingt-quatrième jour d' Un Joueur Parisien est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International
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