Elle inarticule des mots en serrant plus fort encore cette cravache entre ses dents, elle gémit une supplication, elle le veut, elle veut qu'il la prenne, qu'il la pénètre, qu'il la baise. Mais non, il joue autour d'elle, il se joue d'elle. Elle aime ça, c'est horrible comme elle aime ça. Il sait ce salaud qu'il la rend folle. Elle veut lui crier, lui hurler qu'il a gagné, qu'elle est à lui, qu'elle est sa femelle, sa pute, qu'il peut la prendre comme il veut, quand il veut, qu'il peut tout, qu'il peut tout lui faire. Elle veut lui pleurer, lui gémir qu'il peut, qu'il doit tout lui faire, qu'elle en veut, qu'elle le veut, qu'elle veut tout de lui, la douleur et le plaisir, qu'elle veut même l'attente, cette attente qui la rend folle.
Elle exècre, elle adule cette envie qui naît en elle, qui lui tord les tripes, qui la fait vriller, qui la fait sortir d'elle-même. Ses seins sont durs, tendus de désirs. Elle cambre sa croupe, ouverte, indécente, au-delà de la décence, femelle, animale, offerte dans l'attente d'une saillie, dans l'attente sans savoir ce qu'elle attend, sans l'attente de ses envies, pas les siennes, les envies de Lui, les folies de Lui.
Elle lui offre, elle lui abandonne son corps, elle lui abandonne ses envies, ses désirs, elle ne veut plus que les siens.
Elle hurle son désir dans un cri silencieux les dents plantées dans la cravache....
une première rencontre 5/5
une première rencontre 4/5
une première rencontre 2/5
une première rencontre 1/5
une première rencontre 5/5
une première rencontre 4/5
une première rencontre 2/5
une première rencontre 1/5
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Ah ces cris muets, cette attente...
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