Contraintes: Primevères lutin jonquilles terre lapinou humide radis rosée
Voici donc le printemps, l'on voit les primevères
Alors nous vient l'envie, de partir boire un verre
Avec quelque belle, puis tel un gai lutin
Vouloir la courtiser, jouant de mots mutins.
Et pour la séduire, lui offrir des jonquilles.
Espérer ensuite, danser la séguedille
Pouvoir l'accompagner, sur l'espace de terre,
Là-bas, près des remparts, sans mon désir lui taire.
Au Printemps s'il est doux d'évoquer lapinou
Mais je voudrais surtout caresser son minou,
Sous mes doigts le sentir, chaud, devenu humide,
Le déguster alors. Sans être plus timide.
Dans son con fermement, fourrer mon gros radis
Pour à grands coups de rein, aller au paradis,
Son sexe de plaisir, ruisselant de rosée,
Puis tous deux reposer, nos corps juxtaposés.
Écriture contrainte quatre-vingt-cinquième jour d' Un Joueur Parisien est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International
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