Depuis le premier janvier, premier jour de ce superbe jeu que nous devons à la charmante Popins que je ne remercierai jamais assez, je me suis efforcé de jouer avec les mots, les contraintes en poussant le masochisme à rajouter des contraintes à mon écriture, et tout cela en essayant de garder un ton léger. Mais aujourd'hui, je ne suis pas certain d'être léger dans mes propos, le huit mars n'est pas un sujet qui m'incite à badiner, le huit mars n'étant pas la journée de la femme mais la journée internationale des droits des femmes.
Après ces quelques précautions oratoires, libre à vous d'arrêter là la lecture de ce texte.
L'esprit du huit mars n'est de proposer à sa femme, sa compagne, sa maîtresse de sortir du foyer familial, de lui proposer un dîner en ville. Il ne s'agit nullement de lui offrir des fleurs pour la faire sourire et la voir épanouie, heureuse, en espérant en rentrant du restaurant la culbuter sur le canapé ou plus confortablement sur le lit. Certains espéreront pouvoir ainsi la baiser à en faire couler son maquillage et que d'un sourire elle se sentira tenue de les remercier, même si quatre-vingt-quinze fois sur cent la femme s'emmerde en baisant…
Écriture contrainte soixante septième jour d' Un Joueur Parisien est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International
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