Un seul être vous manque et tout est dépeuplé…
Quelle que soit les pratiques, même les plus extravagantes, déviantes, surprenantes, c'est avant tout, c'est au-delà des actes une relations entre deux êtres, et "ça" nous déchire l'âme, "ça" nous laisse incapable de respirer, "ça" nous laisse avec une douleur infinie qui vrille…
Et ce salaud de soleil qui n'en sait rien brille toujours, et cette saloperie de terrer tourne toujours, même pas la décence de tourner à l'envers, de s'ouvrir pour enfanter à l'envers de cette monstruosité…
Le monde poursuite sa vie pendant que l'on souffre.
Et l'on réapprend à vivre, sans rien oublier.
On oublie rien de rien, on s'habitue, c'est tout, chantait Jacques Brel…
Quelle que soit les pratiques, même les plus extravagantes, déviantes, surprenantes, c'est avant tout, c'est au-delà des actes une relations entre deux êtres, et "ça" nous déchire l'âme, "ça" nous laisse incapable de respirer, "ça" nous laisse avec une douleur infinie qui vrille…
Et ce salaud de soleil qui n'en sait rien brille toujours, et cette saloperie de terrer tourne toujours, même pas la décence de tourner à l'envers, de s'ouvrir pour enfanter à l'envers de cette monstruosité…
Le monde poursuite sa vie pendant que l'on souffre.
Et l'on réapprend à vivre, sans rien oublier.
On oublie rien de rien, on s'habitue, c'est tout, chantait Jacques Brel…
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