Pour celles et ceux qui ne l'auraient pas noté, je lis actuellement un roman espagnol, La Régente. C'est une de ces livres où l'on plonge avec volupté, et dois-je préciser que la volupté n'est pas l'érotisme pour éviter ensuite des remarques plus ou moins acerbes de celles ou ceux qui m'auraient suivi dans mes lectures. Peut-être devrais-je aussi évoquer l'extrême volupté à s'abandonne aux mots d'Ivan Gontcharov dans Oblomov.
Dans ce roman, j'ai croisé des mots, des phrases, des passages superbes, et je vous en offre un aujourd'hui "Les regards du cavalier s'élançaient comme des fusées vers la rambarde où reposait la belle et opulente poitrine de la Régente."
Ces mots m'ont laissé rêveur, et rêvant à une belle à l'opulente poitrine…
Dans ce roman, j'ai croisé des mots, des phrases, des passages superbes, et je vous en offre un aujourd'hui "Les regards du cavalier s'élançaient comme des fusées vers la rambarde où reposait la belle et opulente poitrine de la Régente."
Ces mots m'ont laissé rêveur, et rêvant à une belle à l'opulente poitrine…
Mille sabord !
RépondreSupprimerObjectif Lune ?
Cet objectif ne serait-il pile côté opposé ?
RépondreSupprimerCoté obscur, oui
RépondreSupprimerC'est on ne peut plus imagé :)
RépondreSupprimerFaîtes de beaux rêves cher ami...et je vous souhaite aussi de les réaliser...Comme on ne peut que le souhaiter au Cavalier ;)
Il faut avouer que lorsque une Hussarde souhaite de si belles choses à un cavalier l'image est succulente...
SupprimerJ'aime bien vos rêves.....
RépondreSupprimerMerci...
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