Cette période de l'Avent, qui n'est plus qu'une gigantesque foire aux calendriers en tous genres, dont si certains sont charmants, jolis, gourmands, érotiques ou pires encore, d'autres ne sont que des objets commerciaux sans grand intérêt, se termine. Le jeu de mots était trop tentant pour que je le laisse passer, ce billet sera don consacré à l'après. "Après le plaisir on se sent un peu plus triste encore qu'avant" chante Charles Aznavour.
Cet après, après-Noël et après bien plus, a un goût amer. Ne devrait-on pas prévoir un calendrier de l'après pour aider à vivre cela ? Peut-être un jour, y penserais-je sérieusement, peut-être un jour arriverais-je à penser sérieusement ?
En attendant, aller boire un café crème, "il n'y a plus d'après à Saint-Germain-des-Prés."
Cet après, après-Noël et après bien plus, a un goût amer. Ne devrait-on pas prévoir un calendrier de l'après pour aider à vivre cela ? Peut-être un jour, y penserais-je sérieusement, peut-être un jour arriverais-je à penser sérieusement ?
En attendant, aller boire un café crème, "il n'y a plus d'après à Saint-Germain-des-Prés."
Après d' Un Joueur Parisien est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International
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