Le titre l'indique clairement, pour une fois, le sujet que je vais aborder ici est un sujet éventé dont l'on nous rebat les oreilles depuis des siècles. Selon Boileau ce serait une question de travail "Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage. / Polissez-le sans cesse et le repolissez ; / Ajoutez quelquefois, et souvent effacez." Musset lui implore sa muse "Est-ce toi dont la voix m'appelle, / Ô ma pauvre Muse ! Est-ce toi ?" Et moi dans tout ça, comment vais-je arriver à tenter d'écrire encore ? C'est une question que je me posais trop souvent jusqu'à ce que je découvre un auteur qui aborde lui aussi cette question, mais sur un mode très personnel " J'ai besoin d'un nouveau crayon. J'ai aussi besoin d'une femme. Plus j'écris, plus ma bite me démange. Mon besoin de sexe est directement lié à ma puissance créatrice, à la fois en mon génie artistique."
En quelque sorte le conseil serait "Vingt fois sur le métier remettez votre Muse/ Polissonnez-la sans cesse et la repolissonnez !"
En quelque sorte le conseil serait "Vingt fois sur le métier remettez votre Muse/ Polissonnez-la sans cesse et la repolissonnez !"
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