- Je bois au beau sexe des deux hémisphères.
- Et moi, je bois aux deux hémisphères du beau sexe !
Marquis de Bièvre


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vendredi 7 août 2020

Une soirée (non) perdue

Celles et ceux qui me lisent plus ou moins régulièrement savent combien j'aime ce texte de Musset Une soirée perdue, qui, légèrement détourné, a donné le titre de ce billet et commence par les vers " J’étais seul, l’autre soir, au Théâtre Français, / Ou presque seul ; l’auteur n’avait pas grand succès." Encore une fois je ne saurais que vous encourager à lire, déguster, savourer ce texte.
Et si j'ai détourné le titre, je ne me suis pas arrêté là et ai continué aussi avec les premiers vers, j’étais seul, l’autre soir, dans les rues d'Avignon, / Ou presque seul ; le festival est annulé. La ville est étrange, si loin de l'animation, de l'ébullition qui règne habituellement en juillet, et l'on se retrouve à déambuler dans des rues quasiment vides, l'on croise des terrasses de café, de restaurant dont la taille est terriblement restreinte et malgré cela les tables vides sont nombreuses.
Cela ne m'a cependant pas empêché de retrouver l'un de mes restaurants préférés pour un fort agréable repas gréco-arménien, d'autant plus agréable, je dois l'avouer, que la serveuse était fort jolie avec ses seins nus ondulant sous un haut léger et blanc. Il faisait délicieusement chaud sous les arbres, les tenues étaient diablement estivales et c'étaient un bonheur de regarder, de contempler les belles sur les terrasses, dans les rues.

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