L'année deux mille n'en finit pas de ne ressembler à rien, après un confinement qui a fait définitivement disparaître quelques semaines, quelques mois de notre vie, les conditions climatiques de ce début de mois de juillet nous laisseraient croire que nous sommes encore dans un printemps frileux. Mais, je vous l'ai dit cela n'entamera en rien mon enthousiasme, le mois de juillet sera beau et lumineux.
Et, si je suis pour l'instant devant mon clavier, tentant d'aligner encore et encore des mots, tout à l'heure, j'irai me promener, non pas dans les rues de la ville, mais le long de la coulée verte, pour le plaisir de marcher, de profiter du petit soleil d'aujourd'hui, pour écouter pousser les arbres, regarder les fleurs et, ne nous voilons pas la face, les belles qui se promènent, qu'elles avancent masquée ou non, qu'elles se dévoilent quelque peu ou non.
Si deux mille vingt m'a volé mon printemps, je savourerai chaque jour de cet été.
Savourez, mais soyez prudent·e·s.
Et, si je suis pour l'instant devant mon clavier, tentant d'aligner encore et encore des mots, tout à l'heure, j'irai me promener, non pas dans les rues de la ville, mais le long de la coulée verte, pour le plaisir de marcher, de profiter du petit soleil d'aujourd'hui, pour écouter pousser les arbres, regarder les fleurs et, ne nous voilons pas la face, les belles qui se promènent, qu'elles avancent masquée ou non, qu'elles se dévoilent quelque peu ou non.
Si deux mille vingt m'a volé mon printemps, je savourerai chaque jour de cet été.
Savourez, mais soyez prudent·e·s.
Cinquante-septième jour de sortie de confinement d' Un Joueur Parisien est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International
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