Une journée passée, encore une fois, derrière un clavier, même pas de charmantes voisines dorant langoureusement au soleil. Une journée des plus banales, une journée à répondre à des mails sérieux mais sans la moindre conviction, une journée à téléphoner à diverses personnes pour expliquer un point de vue, argumenter, essayer de convaincre alors que je n'y crois plus moi-même, une journée à lire des rapports pour en faire des synthèses que personne ne lira, une journée à répondre à d'autres personnes pour écouter leurs remarques, questions, interrogations, doléances diverses et d'une variété infinie, une journée à rédiger des notes sur un projet dont il ne me chaut guère. Une journée fascinante donc, vous l'avez compris.
Mais aussi une journée à regarder par la fenêtre, au-delà de la fenêtre, en pensant à Elle, en pensant aux kilomètres et aux jours qui nous séparent encore, en pensant au jour qui nous rapprochera.
Passez des journées banales ou belles, mais soyez prudent·e·s.
Mais aussi une journée à regarder par la fenêtre, au-delà de la fenêtre, en pensant à Elle, en pensant aux kilomètres et aux jours qui nous séparent encore, en pensant au jour qui nous rapprochera.
Passez des journées banales ou belles, mais soyez prudent·e·s.
Vingt-quatrième jour de sortie de confinement d' Un Joueur Parisien est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Si vous aimez mes mots, j'aime aussi les vôtres, laissez-donc, si vous le souhaitez, une trace de votre passage, les commentaires vous sont ouverts…