- Je bois au beau sexe des deux hémisphères.
- Et moi, je bois aux deux hémisphères du beau sexe !
Marquis de Bièvre


Si vous aimez mes mots, j'aime aussi les vôtres, laissez-donc, si vous le souhaitez, une trace de votre passage, les commentaires vous sont ouverts…


vendredi 8 mai 2020

Cinquante-deuxième jour de confinement

Je suis en week-end, un week-end de trois jours, le dernier week-end de ce confinement qui n'en finit pas. Certes, cela ne change guère mes activités quotidiennes, courses à faire, poubelles à sortir, lessive, cuisine, vaisselle, et un gâteau, au chocolat, j'aime le chocolat, noir, très noir. Un week-end curieux où l'on pense au déjà au lundi, un lundi de début de fin de confinement. Un lundi où l'on pourra commencer à bouger un peu plus, mais les lieux où l'on aimerait aller ne seront toujours pas accessibles.
Un lundi qui ne changera finalement pas grand-chose à mon quotidien. Je serai toujours assis là, à la même place, en levant les yeux de l'écran, je verrai le ciel, serait-il gris, sera-t-il bleu ? Je verrai le ciel et je penserai, je rêverai, et j'écrirai des mots, des mots d'espoir, des mots de désir, des mots emplis d'intensité, des mots qui me feront me dresser vers Elle, des mots qui me feront vibrer pour Elle, des mots que je brûle de susurrer au creux de son oreille, des mots que le brûle d'éjaculer à la face du monde.
Passez un bon week-end et restez chez vous.



Licence Creative Commons

Cinquante-deuxième jour de confinement d' Un Joueur Parisien est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International

6 commentaires:

Si vous aimez mes mots, j'aime aussi les vôtres, laissez-donc, si vous le souhaitez, une trace de votre passage, les commentaires vous sont ouverts…