Quarante-huit jours, quarante-huit jours entre lecture, écriture, attente, désirs, et travail aussi un peu. Quarante-huit jours étranges, mais aussi quarante-huit jours peuplés de beaux moments, de découvertes, de belles découvertes, découvertes de textes, de mots, de vers, de livres bien sûr, découvertes de belles personnes et bien plus… Mais aussi des découvertes plus surprenantes, par exemple le fait que l'ensemble de mes lectrices et lecteurs n'aient eu aucune difficulté avec la découverte de Georg Cantor, certes vieille de plus d'un siècle. Aurais-je un fan-club constitué de mathématicien·e·s ?
Je ne vais cependant pas m'étaler plus sur ces questions mathématiques d'infinis. Il est d'autres infinis autrement plus agréables, et plus jouissifs à explorer du bout des mots, au fil des phrases, aux longs des textes, en attendant le jour où il sera possible enfin de l'explorer Elle, de sentir sa présence, son corps, son odeur, à en atteindre l'infini du plaisir et de la jouissance avec Elle.
Rêvez d'infinis, mais restez chez vous.
Je ne vais cependant pas m'étaler plus sur ces questions mathématiques d'infinis. Il est d'autres infinis autrement plus agréables, et plus jouissifs à explorer du bout des mots, au fil des phrases, aux longs des textes, en attendant le jour où il sera possible enfin de l'explorer Elle, de sentir sa présence, son corps, son odeur, à en atteindre l'infini du plaisir et de la jouissance avec Elle.
Rêvez d'infinis, mais restez chez vous.
Quarante-huitième jour de confinement d' Un Joueur Parisien est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International
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