- Je bois au beau sexe des deux hémisphères.
- Et moi, je bois aux deux hémisphères du beau sexe !
Marquis de Bièvre


Si vous aimez mes mots, j'aime aussi les vôtres, laissez-donc, si vous le souhaitez, une trace de votre passage, les commentaires vous sont ouverts…


jeudi 23 avril 2020

Trente-septième jour de confinement

Trente-sept jours de confinement, trente-sept ! Comment ne pas avoir en tête en écrivant cela un titre de film, 37°2 le matin. Je ne ferai cependant pas ici une critique cinématographique, et ce n'est pas ce que vous attendez de moi. Je ne vous dirais pas avec qui je l'ai vu pour la première fois au cinéma, ni ce que nous avons pu faire pendant le film, ce n'est pas l'objet de ce billet. Mais je vous rassure, deux bonnes nouvelles, je ne suis pas enceinte et je vais bien.
Mais, il y a toujours un "mais", sans cela il n'y aurait pas de billet du jour. Mais, je suis, sans aucun doute, fiévreux ce matin. Pour être plus précis, je brûle, un feu intérieur me dévore, je brûle d'envie, je brûle de désir. L'absence d'Elle m'a enflammé, a enflammé, mon corps, mon cul, mon âme, et ma queue. Mon désir est en ébullition, proche de l'éruption, prêt à jaillir en brûlantes éjaculations.
Elle seule pourra éteindre ce feu qui me consume en me laissant me désaltérer à la source vive de son plaisir, en m'offrant son nectar de jouissance.



Licence Creative Commons

Trente-septième jour de confinement d' Un Joueur Parisien est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Si vous aimez mes mots, j'aime aussi les vôtres, laissez-donc, si vous le souhaitez, une trace de votre passage, les commentaires vous sont ouverts…