- Je bois au beau sexe des deux hémisphères.
- Et moi, je bois aux deux hémisphères du beau sexe !
Marquis de Bièvre


Si vous aimez mes mots, j'aime aussi les vôtres, laissez-donc, si vous le souhaitez, une trace de votre passage, les commentaires vous sont ouverts…


vendredi 17 avril 2020

Trente-unième jour de confinement

"Souviens-toi, c'était un jeudi, Souviens-toi, on avait suivi, Le chemin des amoureux" Joe Dassin chantait cela, il y a plus de quarante ans. Ce n'est pas une des plus belles chansons françaises, juste le tube d'un été, mais j'avais cet air en tête au moment de commencer mon billet du jour.
"Souviens-toi, c'était un mardi, Souviens-toi, on a débuté, Ce trop long confinement" C'était un mardi, il y a un mois, le dix-sept mars.
Le parallèle s'arrête là, la période en cours n'a rien de ces étés de ma jeunesse vécus en liberté. Mon esprit s'égare, les après-midi à la piscine ou à la plage, les corps dévoilés et admirés, et les soirées où les mains et les langues se cherchaient, s'égaraient, se retrouvaient pour mieux s'égarer et où nous baisions comme un troupeau de jeunes chiennes et chiens en chaleur. Nous étions jeunes et sans grande expérience, mais nous compensions cela par la fougue et l'ardeur de la jeunesse. Et je dois vous avouer que quelques touristes moins jeunes, que l'on ne nommait pas alors cougars, ont apprécié cette fougue tout en nous guidant vers des plaisirs plus sophistiqués.
Rêvez à votre jeunesse, mais restez chez-vous.



Licence Creative Commons

Trente-unième jour de confinement d' Un Joueur Parisien est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Si vous aimez mes mots, j'aime aussi les vôtres, laissez-donc, si vous le souhaitez, une trace de votre passage, les commentaires vous sont ouverts…