- Je bois au beau sexe des deux hémisphères.
- Et moi, je bois aux deux hémisphères du beau sexe !
Marquis de Bièvre


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jeudi 5 novembre 2020

Septième jour de reconfinement

Une journée paisible, une journée de confinement, j'ai consacré, ou du moins j'ai tenté de consacrer mon après-midi à l'écriture tout en buvant une tasse de thé bien sûr, sur ce point-là, je ne peux que vous suggérer de vous reporter au billet précédent. J'ai relu, des textes, les ai peaufinés. Vous savez, "Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage, polissez-le sans cesse, et le repolissez, ajoutez quelquefois, et souvent effacez." Vous ne serez guère étonné si je vous précise que les écrits en question étaient des nouvelles érotiques. Mais mon activité a été gravement perturbée par une réflexion. Un texte érotique doit troubler, pour le moins, la personne qui lit, la faire bander, ou mouiller, c'est selon. Il est donc logique que lorsque j'écris un texte érotique réussi, mon sexe le manifeste clairement en levant la tête. D'où mon dilemme quasiment cornélien, est-il préférable de se branler ou d'écrire en bandant comme un âne, sans pour autant écrire comme un âne dans la mesure du possible ?


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